Le point G tient son nom du docteur Ernst Gräfenberg : gynécologue obstétricien allemand qui était le premier à avoir fait une étude scientifique sur le plaisir féminin en 1950.

Mais il faut attendre jusqu’au 1982 pour que la notion de "point G" devient rapidement populaire après la publication aux États-Unis du livre d'Alice LADAS, Beverly WHIPPLE, et John PERRY : Le point G et autres récentes découvertes sur la sexualité humaine (The G-Spot and other discoveries about human sexuality).

DÉFINITION :


Le point G est le cerveau de l’orgasme : anatomiquement il désigne la zone antérieure du vagin correspondant aux glandes de Skene, appelée aussi prostate féminine. C’est une petite zone de tissu érectile de la forme d'une petite boule de moins d'un centimètre au repos situé sur la face antérieure du vagin, entre 3 et 5 cm de l'entrée de la vulve. Cette zone est très érogène, Stimulée, elle permet d'obtenir une excitation sexuelle et un plaisir intense plus puissant que celui provoqué par le clitoris.


COMMENT LE TROUVER:

La zone est plus ou moins individualisée selon les femmes et peu d’entres elles réussissent à trouver leur point G. Il suffit d'introduire un doigt à 4 cm à l'intérieur du vagin, en le dirigeant vers le nombril, puis en le pliant afin de toucher la paroi avant. Un léger renflement peut apparaître (sa taille augmente et il se met à palpiter) et provoquer une sensation de plaisir. L’utilisation d’un Sexy Toy spécial Point G dont l'extrémité recourbée (permet une stimulation plus directe) ou l’aide du partenaire peut rendre cette découverte plus agréable.

L’envie d’uriner sentie lors de la stimulation du point G est un bon indice pour l’emplacement précis de cette zone (passe devant l'urètre et sa stimulation met la vessie sous tension).cette sensation est passagère : elle disparait pour laisser place à des sensations plus agréables.



Existe t'il un point G chez l'homme:

Aucune étude anatomique n'a été réalisée à ce sujet et n’a prouvé l’existence de point G chez les hommes. Cependant les sexologues par analogie avec la zone féminine équivalente, considèrent la zone de la prostate masculine accessible au toucher comme un point G (parfois appelé point P). Cette zone est située près de l’urètre et de la prostate, à l’intérieur du rectum, sur la paroi antérieure, qui sépare le corps de la verge de l’anus. En plus certains hommes apprécient que leur compagne stimule, par voie interne, cette région hautement stratégique par l’introduction d’un doigt dans l’anus pour toucher et masser les reliefs de la prostate dans le rectum. Pour eux cela apportera beaucoup de plaisir pouvant accentuer l'érection, et même mener à l'éjaculation.

Comment stimuler le Point G:

Dans un rapport amoureux et pour emmener la femme vers un sommet plus élevé du plaisir il est important de stimuler le point G. cette stimulation si elle n’est pas inscrit dans un timing particulier peut être inutile et parfois agaçante pour la femme. C’est pour cela qu’il est préférable de le stimuler après un orgasme clitoridien. Pour certaines femmes qui ont du mal à atteindre l’orgasme, l'amplification du point G est proposée par quelques médecins, afin de permettre aux femmes de mieux connaître le plaisir, par injection de l’acide

hyaluronique dans le point G afin de le regonfler. Le point G ainsi amplifié, provoquerait plus de plaisir mais aucune étude n'a démontré ces affirmations.

en référence à :

- POINT G - (afficher sur Google Sidewiki)

C'EST QUOI LA VIRGINITÉ ?

La virginité désigne l'état d'un homme ou d'une femme qui n'a pas connu de relations sexuelles.
L’utilisation de ce concept et ses limites ont toujours varié selon les cultures et selon les époques.

La définition la plus simple, la plus répandue est : une femme qui n'a jamais eu un pénis dans son vagin est une vierge. Cette définition inclut donc ce qu’on appelle la virginité hyménale basée sur un hymen intacte.
Voici quelques Problèmes liés au concept de virginité hyménale :

* L'absence congénitale de l'hymen
* La rupture involontaire de l'hymen hors activité sexuelle est possible
* La présence de l'hymen ne garantit pas l'absence des MST ni l'absence d'une infection par le SIDA
* La présence de l'hymen ne peut pas garantir la pureté de la filiation, il est possible même de tomber enceinte en restant vierge.
* La présence de l'hymen ne peut pas garantir l'absence d'activité sexuelle
* un hymen peut-être suffisamment ouvert et peu vascularisé, ce qui n’entraînera pas de saignement lors de la défloration d’une femme vierge
* certaines femmes peuvent avoir une pénétration par un pénis sans même que l'hymen ne soit déchiré (hymen complaisant).

HYMEN ET DÉFLORATION :

Définition :

La défloration se définit comme la rupture de l'hymen par la pénétration du pénis dans la cavité vaginale.
Cette déchirure s'accompagne d'une douleur variable qui dure quelques secondes et d'un saignement.
Implications psychologiques :

La défloration remet la femme devant une réalité nouvelle, celle d'une relation possible avec l'homme. Les analyses de souvenirs des femmes sur leur premières fois démontrent la profondeur du choc psychologique résultant de la perte de l'hymen.
Causes d'impossibilité de défloration :

* Stress
* contraction involontaire des parois vaginale du premier tiers du vagin (Vaginisme)
* Hymen résistant ou élastique

Cause d'absence de saignement :

* absence congénitale de l'hymen
* Hymen Élastique
* ouverture centrale large ou une forme semi-lunaire de l’hymen permettant une pénétration sans défloration

RESTAURATION DE L'HYMEN :

C’est une réparation de la membrane hyménale (à partir de ses résidus cicatriciels) qui donnera l’impression que la région est indemne de tout contact sexuel
Du point de vue éthique :

Comparable à la chirurgie esthétique (le but est d’arrêter une souffrance morale ou sociale)
Les techniques de la restauration de l'hymen (hyménorraphie) :
Technique simple :

* Sous anesthésie locale ou générale
* Simple suture chirurgicale
* intervention réalisable une semaine maximum avant la nuit de noce en raison du risque d'absence de cicatrisation de l'hymen.

Allo plant:

* Une membrane artificielle peut être insérée peu avant le mariage.

Technique de restauration définitive (Plastie du vagin):

* utilisé en cas de perte ancienne de l'hymen, et de l'absence des résidus de l'hymen
* 2 heures d'intervention chirurgicale
* les sutures dont définitives (Les points de sutures sont solubles.)
* Aucune relation sexuelle n'est autorisée avant un mois après l'intervention.

Complications possibles :

* Infection
* Lâchage des sutures
* des douleurs cicatricielles résiduelles passagères.

Il est pratiquement impossible, lors d'un examen gynécologique, de reconnaître si un hymen a été reconstitué ou non, dans la mesure où cette opération a été faite correctement.

en référence à :

- Sexualité hymen et virginité - (afficher sur Google Sidewiki)

Homosexualité (homo=semblable), le terme a été crée en 1869 par le médecin hongrais Karoly Maria Kerbeny pour désigner « toutes formes d’amour charnel entre des personnes appartenant biologiquement au même sexe.
Orientation sexuelle/Identité de genre
L’identité de genre ou le sexe biologique

C’est l’interaction entre le sexe physique, le rôle social et la manière dont une personne se définit par rapport au genre masculin ou féminin.
L’orientation et l’identification sexuelle
Englobent l’identification, les pratiques et les désirs sexuels, elles peuvent avoir pour objet des personnes du même sexe ou de sexe différent. (On parle d’orientation homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle).
La différence entre le sexe biologique et l’identité sexuelle :
La libido et la capacité d’exprimer son désir sexuel, le désir sexuel change mais l’identité sexuelle peut rester la même, d’où elle peut contraster avec son sexe biologique.

Cette identité sexuelle ne peut pas être déterminée seulement par les organes sexuels extérieurs.
Différentes approches de la genèse de l’homosexualité

Selon certaines théories, l’homosexualité a des facteurs congénitaux ; certains gènes prédestinent un type d’orientation sexuelle ( homo et hétérosexuelle). On a pu, également, déterminer des différences quant au taux plasmatique de certaines hormones selon l'orientation sexuelle dominante.

D’autres théories voient que l’homosexualité est le résultat de l’éducation affective du jeune enfant.

De point de vue sociologique, la pratique homosexuelle est plus répondue aux de deux extrémités de l’échelle sociale : chez les élites artistes, intellectuels ou les rejetés et les prisonniers.

L’expérience d’homosexualité peut-être reçue comme une recherche métaphysique, il s’agit d’une façon d’avoir gouter à tout et surtout à ce qui ne se fait pas.

Le DSM IV, Manuel de critères diagnostiques proposé par l’American Psychiatric Association, définit l’homosexualité comme « un trouble de l’identité de genre ». L’homosexualité est psychologiquement problématique car elle est en contradiction avec l’identité sexuelle.

Freud conçoit l’homosexualité comme une « perversion », c’est-à-dire une fixation à des buts sexuels primitifs ou passagers.

Ferenczi, psychanalyste contemporain de Freud, a une autre approche de l’homosexualité issue de son travail clinique. Il parle de « l’homoérotisme de sujet » fondé sur le déni de l’identité sexuelle.
Origines psychiques de l’homosexualité

L’hypothèse la plus pertinente de l’homosexualité est celle qui relève de la cause psychique. Elle est liée à la façon dont le sujet va construire la représentation de son désir sexuel. L’identification homosexuelle fait partie du développement de la psychologie du sujet lors de l’enfance et de l’adolescence. Il va s’identifier au parent puis à des partenaires du même sexe pour conforter son identité sexuelle. Le sujet peut se fixer à ses premières identifications
Fusion avec la mère

Dans la résolution normale du complexe d'Oedipe, l'enfant doit renoncer à ses désirs incestueux, les plus souvent inconscients. Pour la fille, l’homosexualité résulte d’une fixation infantile à la mère et d’une déception à l’égard du père. Le garçon instaure avec sa mère un lien intense, à la puberté, il s’identifie à elle et cherche un homme qui puisse l’aimer comme il a été aimé par sa mère. Le père confirme la masculinité du garçon et révèle la féminité de la fille. L’absence ou la dévalorisation de la figure paternelle rendent propice le développement des tendances homosexuelles chez l’enfant.
Fixation au stade de miroir (6-18mois)

L’enfant prend conscience de lui à travers le regard de ses parents et du miroir qui reflète son image. Il peut être amoureux de lui même et tente de se retrouver chez des partenaires de même sexe. Cette fixation au stade de miroir, l’empêche de

en référence à :

- L'homosexualité - (afficher sur Google Sidewiki)

Qu’est ce que le Kâma Sûtra ?

Ecrit par Vatsyayana Mallanaga, le Kâmasûtra est un traité de la sexualité qui date de la période classique de l’Inde. Il a été traduit pour la première fois en anglais en 1876 par Richard Francis Burton. Mais le livre ne devint légal qu'en 1963.

« kâmasûtra » ou les aphorismes du désir est un document majeur concernant l'histoire de la sexualité humaine à laquelle il donna une nouvelle dimension concernant l'art de la séduction et les principes de l’acte amoureux. Il décrit un certain nombre de positions, mais également le comportement à tenir par les partenaires pour laisser ensuite place à leur imagination.

Un chapitre sur sept est consacré à la description de positions sexuelles. Les autres chapitres traitent le mariage, les rapports entre hommes et femmes ; un chapitre est plus particulièrement destiné aux courtisanes, tandis que le dernier aborde les différents moyens d'exciter le désir.

Pour varier les plaisirs, les couples adoptent différentes positions sexuelles. Les positions classiques sont les préférées pour plusieurs couples.
Quels sont les grands classiques du Kâma Sûtra ?
Levrette

* Description

Dans la position de la levrette, la femme est à quatre pattes, l’homme est positionné derrière elle, il pose les mains sur le coté pour contrôler son poids. C’est la position de la plupart des mammifères et la plus chargée de fantasmes.


La levrette est la position des mammifères quadrupèdes, elle est très chargée en fantasmes. C'est l'une des positions idéales pour atteindre un orgasme du point G et offre des orgasmes d’une grande intense chez l’homme comme chez la femme.
Andromaque

* Description

L’homme est allongé sur le dos, la femme est dessus, assise ou accroupie sur lui. Cette position de dominance permet à la femme de doser la profondeur et le rythme de la pénétration.


Etre dominé, c’est aussi un fantasme masculin, grâce à la position d’Andromaque, la femme prend les rênes de l’acte sexuel et accepte de se soustraire au regard de son partenaire. Les sexologues conseillent cette position aux femmes qui désirent découvrir l’orgasme pendant la pénétration et aux hommes qui veulent apprendre à maitriser leur éjaculation.
Missionnaire

* Description

La femme est couchée sur le dos, cuisses écartées, son partenaire s'allonge sur elle, en prenant appui sur ses genoux ou ses coudes. C’est la position utile pour toutes occasions et à tous âges dans toutes ses déclinaisons.


C’est la position sexuelle la plus adoptée par les couples, elle permet un réel échange sensuel entre les partenaires, qui peuvent se regarder et s’embrasser.

La missionnaire est la plus pudique du Kamasutra, c’est pourquoi elle est préférée des jeunes qui débutent leurs vies sexuelles
Petites cuillères

* Description

Les deux partenaires sont allongés sur le même côté, le dos de la femme est contre le ventre de son partenaire.

C’est une position idéale pendant la grossesse, les femmes aiment cette position qui implique des mouvements lents et doux. L’homme peut profiter pour s’entraîner à maîtriser son éjaculation. Elle offre, également, un grand moment d'intimité sensuel.
L'union de Lotus

* Description

L’homme est assis dans la position dite de Lotus : jambes reliées et cuisses écartées. La femme s’assied sur lui, enroule ses jambes autour de sa taille, les pieds posés au sol ou sur le lit. La femme bascule le bassin en arrière et contracte son périnée en inspirant, puis elle le bascule en avant et relâche ses muscles en expirant. L'homme la suit dans ses mouvements.


Une position propice aux baisers et caresses, incite à une union complète des deux corps. Très romantique, l'union du lotus procure également un plaisir intense au niveau de la pénétration.

en référence à :

- Decouvrez le Kama Sutra - (afficher sur Google Sidewiki)

La sexualité pendant la grossesse est, souvent, considérée comme tabou. Mais souvent, certains couples continuent à avoir une sexualité épanoui.

La grossesse est une période chargée de changements physiques et psychologiques pouvant influencé le désir sexuel. Pour beaucoup de femmes le désir sexuel s'affaiblit, alors que d'autres voient leur libido croitre.
Changements de la libido

L'évolution du désir sexuel durant la grossesse s’explique par les bouleversements hormonaux et l'augmentation du taux d'estrogènes. Le vagin et les seins sont plus sensibles. Cependant, chaque grossesse est unique et a son caractère propre.

Durant le premier trimestre, les nausées, la somnolence et la fatigue,ainsi que les changements hormonaux diminuent le désir sexuel.Mais ce n'est pas systématique, des femmes qui ne vivent pas ces malaises durant les premiers mois de la grossesse, peuvent avoir désir sexuel un peu plus relancé.

Général c’est une période calme sous la couette. Le couple est encore sous le coup de l’annonce de la grossesse.

Au cours du deuxième trimestre, les nausées et le malaise disparaissent, une sensation de bien-être envahie la future maman; belle, épanouie, ses sens se réveillent. Certaines femmes connaissent une augmentation du désir sexuel du fait de la réduction de l'orifice vaginal. Mais, pour d'autres femmes, la prise de poids, la peur de faire du mal à l’enfant, les changements que son corps connaît et l’image « sacrée » de la maman prolongent la baisse de désir.

Le dernier trimestre de la grossesse est le moins confortable pour la future maman à cause du volume du ventre, il faut trouver les positions les plus confortables durant les rapports sexuels. Parfois, la peur de déclencher l'accouchement à cause des contractions de l'utérus, amènent la future maman à éviter d’avoir des relations sexuelles.
Sexualité et obstacles psychologiques

Parfois, voir la femme se transformer en mère est une source de crainte pour l’homme. Il leur faudra du temps pour accepter de voir leur partenaire une femme et une amante. Le conjoint peut aussi se sentir socialement abandonné , toute l’attention se portant sur l'état de la future mère et du bébé.

L’essentielle dans cette période est d’accepter que le conjoint soit aussi bouleversé que la future maman par cette naissance.
Positions pendant la grossesse

Pendant la grossesse, la poitrine gonfle, le ventre s'arrondit et se tend, le sexe se modifie sous l'effet de l'hyper vascularisation, ce qui accroit la sensibilité du corps de la femme enceinte, aux caresses et aux mouvements de son partenaire. Le couple doit, donc, s'adapter à ces changements au fil de la grossesse.

Il faut favoriser, les positions les plus confortables pour la femme et celles qui compriment le moins possible son ventre.

* La position de la "levrette "

Vous êtes à quatre pattes et votre homme vous prend par derrière. C'est une position très parfaite, car le dos ne fait pas souffrir et le ventre ne gêne pas.

* La position de "L'angevine"

Les deux partenaires sont couchés sur le côté,les fesses de la femme sont tout contre le bassin de l'homme qui la pénètre doucement en gardant les mains libres pour des caresses.

C'est une position douce et calme convient à la femme enceinte durant les 5 premiers mois.

* La position "en cuillère"

Semble être satisfaisante; l'homme est allongé sur le côté, derrière sa partenaire dont le ventre est soutenu, ce qui rend la position plus confortable. Les mouvements doux et le contact charnel sont renforcés par les caresses de l'homme sur le ventre et la poitrine de sa partenaire.

* La position de "L'Andromaque"

Où la femme à califourchon sur son partenaire, le ventre est dégagé et elle peut contrôler la pénétration.

Si la pénétration s'avère inconfortable, certaines caresses peuvent procurer du plaisir. Les massages permettront de soulager vos courbatures, le sexe oral et la masturbation réciproque demeurent des options tout à fait convenables

- Sexualité et grossesse - (afficher sur Google Sidewiki)

Les préliminaires amoureux sont une invitation au plaisir dans la rencontre sexuelle.

Il s’agit de stimulations sexuelles ou buccales et de jeux amoureux amenant les partenaires à un état d’excitation et préparant le corps à faire l'amour.

La stimulation des différentes zones érogènes permettent de faire monter le désir en déclenchant l'érection chez l'homme et la lubrification du vagin chez la femme.
Les zones érogènes

Une zone érogène est une partie du corps très sensible au toucher car elle comprend un grand nombre de récepteurs sensoriels.

Les caresses de ces zones pendant les préliminaires déclenchent une excitation sexuelle très intense.

Zones érogènes chez l'homme

L'homme est très sensible aux stimulations sexuelles centrées autour de son pénis. La fellation provoque chez l'homme des sensations érotiques intenses,elle est pratiquée comme caresses préliminaires au rapport sexuel.

Le gland est un endroit riche en capteurs sensoriels et très réactif au plaisir. Les testicules et la tige du pénis, l'arrière des bourses et l'anus sont, également, des zones très excitables.


Zones érogènes chez la femme

* Les zones érogènes primaires chez la femme sont les organes génitaux. En les stimulants, pendant les préliminaires, ils propulsent la femme vers un plaisir très intense.

Le cunnilingus est un préliminaire très répondu, ces caresses bucco-génitales offrent une grande gamme de sensations et guident la femme vers une jouissance extrême.

* Les zones érogènes secondaires, réceptives, joueront, également, un rôle actif dans l’excitation sexuelle, elles offrent plusieurs méthodes de stimulations : caresses, chatouilles, baisers… Mais leur degré de sensibilité est aléatoire d’une femme à une autre.

Parmi les zones érogènes secondaires qui ponctuent le corps : les lèvres, le lobe et le creux des oreilles, le cou, la nuque, les seins, le nombril, les hanches, les fesses, les cuisses…
les préliminaires du désir au plaisir

Une femme a besoin de préliminaires pour préparer son corps à la pénétration, quand elle éprouve suffisamment de désir, son vagin se lubrifie et elle se sentira excitée et disponible.

Quant à l’homme, s’il s’attarde sur les préliminaires, le plaisir va envahir tout son corps.

Grâce aux préliminaires amoureux, le corps s’éveille sous l’effet des caresses, des baisers et des stimulations buccales. Il s’agit, également, d’un moment de découverte de l’autre et de soi- même et d’instaurer un climat de confiance et d’écoute mutuelle favorisant l’épanouissement sexuel du couple.

- Les preliminaires - (afficher sur Google Sidewiki)


* Inceste :

L'inceste est une relation sexuelle entre deux membres d'une même famille, en général de la famille nucléaire.

Le plus souvent, il s'agit d'incestes père-fille, bien que l'inceste mère-fils existe également. L'inceste frère-sœur, ou avec d'autres membres de la famille, oncles, grands-parents existe aussi.

Les incestes sont rarement avoués. Pourtant, ils sont préoccupants, car ces relations sont totalement subies par l'enfant et par l'adolescent, de manière très passive.

Elles vont profondément perturber leur développement psychoaffectif (on constate que de nombreuses femmes ayant subies des incestes souffrent de troubles de la sexualité notamment la frigidité).

Tout se passe comme si une cassure, une rupture survenait au moment de l'éveil psychoaffectif, et donc du passage le plus important de l'évolution de leur sexualité.

Cela provoque de profonds désordres, et des troubles qui perdurent, pour resurgir, en général de manière aiguë, dans des situations de blocage au cours de la vie adulte.

* Viol :

Le viol s'applique à toute relation sexuelle qui implique une pénétration par la force ou la menace entre individus de sexe différent ou de même sexe.

-La blessure occasionnée par un viol entraîne une profonde destruction de la personnalité. La sexualité, dans son fondement psychologique, est atteinte.

INTERDICTION D’INTERDIRE :

Comme déjà mentionner plus haut le mécanisme physiologique demeure le même mais c est notre perception même de la sexualité qui s'en trouva changée.

-Toute révolution court évidemment le risque de basculer dans l'excès.

La révolution sexuelle du séisme permissif des années 60 n'échappa pas à la règle.

A ce long siècle puritain et " familialiste " succéda sans transition, tout au long des années 70 et 80, une utopie permissive largement irréfléchie.

" Il est interdit d'interdire ", tel est devenu le slogan pour sois disant faire évoluer notre société D'où une interprétation assez infantile de la sexualité humaine, présentée comme une fonction biologique. Et, surtout, une étrange et durable complaisance à l'égard de certaines transgressions - comme l'inceste, la pédophilie, le harcèlement sexuel - dont on " oublia " la gravité.

- GENERALITES SUR LA SEXUALITE - (afficher sur Google Sidewiki)

Les troubles de la sexualité sont caractérisés par une perturbation du désir sexuel et des modifications psychophysiologiques qui caractérisent le déroulement de la réponse sexuelle, et sont à l'origine d'une souffrance subjective marquée et des difficultés interpersonnelles.

Les troubles sexuels incluent les troubles du désir sexuel, les troubles de l'excitation sexuelle, les troubles de l'orgasme, et les troubles sexuels avec douleurs.

Chez l'homme :

* L'impuissance : incapacité pour l'homme de pratiquer l'acte sexuel.

Elle se traduit par la diminution de la fréquence et de l'intensité des érections.

On distingue :

-l'impuissance primaire ou l'individu n'est jamais parvenu au coït

-l'impuissance secondaire qui survient après une période d'activité sexuelle normale et relève souvent de cause psychologique à composante anxieuse plutôt qu’organique

L’impuissance est susceptible, lorsqu'elle n'est pas d'origine physiologique ou médicamenteuse, d'être prise en charge par des traitements psychologiques, par exemple par les méthodes comportementales de désensibilisation systématique

On rapprochera de l'impuissance proprement dite l'éjaculation précoce ainsi que le retard ou l'absence d'éjaculation et l'absence d'orgasme.

Chez la femme :

* frigidité : Impossibilité pour une femme d'éprouver une jouissance normale au cours des rapports sexuels.

Dans certains cas la frigidité est totale, se caractérisant par l'absence de désir et de plaisirs sexuels.

C'est l'anaphrodisie, le trouble à la fois le plus profond et le mieux accepté par la femme, qui consulte rarement pour cette insuffisance complète.

En revanche, elle le fera souvent pour les frigidités partielles, où le plaisir sexuel existe, mais reste incomplet.

Il s'agit alors de rareté ou d'absence d'orgasme dans les relations sexuelles qui restent satisfaisantes dans la période précédant cette jouissance terminale.

Elle le fera également dans les cas de frigidité douloureuse, ou dyspareunie, dont une forme fréquente est représentée par le vaginisme.

On distingue, suivant leur date d'apparition :

* La frigidité primaire qui apparaît dès les premiers rapports sexuels.

Fréquente chez la jeune mariée, la frigidité primaire cède souvent spontanément lorsque le couple a acquis une certaine aisance dans la vie commune intime.

* La frigidité secondaire qui survient après une longue période de vie sexuelle satisfaisante.

A son origine, on peut trouver une cause organique (maladie générale endocrinienne ou neurologique, ou maladies locales, utérines, vaginales, vulvaires, périnéales, etc.).

Mais le plus souvent, la cause est affective (conflit avec le partenaire, adultère, avortement, troubles névrotiques divers).

Le traitement : est d'abord étiologique (celui de la cause), lorsqu'elle a pu être déterminée.

Pour les frigidités d'origine affective, la psychothérapie d'inspiration analytique pourra élucider le conflit sous-jacent par exemple une grande angoisse de castration, une fixation œdipienne au père, des tendances homosexuelles inconscientes.

Mais souvent de simples conseils concernant la contraception, le comportement du partenaire peuvent suffire.

On peut également utiliser des techniques de rééducation psychosexuelle.

* vaginisme : Trouble se manifestant par des contractions involontaires et spasmodiques de la partie inférieure du vagin. Ces spasmes peuvent se produire alors que cet organe est intact. Ils sont à l'origine d'une douleur qui gène considérablement le coït.

Le vaginisme peut exister en l'absence de troubles d'origine psychologique mais leur est souvent relié.

* Dyspareunie : Douleur provoquée par les rapports sexuels.

Son retentissement sur la vie de couple est particulièrement important et c'est un motif très fréquent de consultation des gynécologues et des conseillers conjugaux.

On distingue généralement des dyspareunies de pénétration, ressenties par des femmes à vagin étroit ou à la suite de suture périné

- GENERALITES SUR LA SEXUALITE - (afficher sur Google Sidewiki)

Un rapport sexuel est un acte sexuel impliquant généralement plus d'un individu.

La masturbation (homme et femme) est toutefois largement considérée comme un rapport sexuel à part entière, en ce qu'elle provoque exactement les mêmes effets sur les organes sexuels qu'un rapport partagé.

On désigne par coït la pénétration du pénis dans le vagin, l'anus (sodomie) ou la bouche (fellation) du partenaire; un rapport sexuel n'implique toutefois pas forcément un coït.

Les phases selon Masters et Johnson :

Le gynécologue William Masters et la psychologue Virginia Johnson ont défini quatre phases de la réponse sexuelle humaine dans un ouvrage célèbre intitulé Les réactions sexuelles (Human Sexual Response). À ces phases, le docteur Helen Singer Kaplan a ajouté celle du désir.

D'après ces auteurs, les différentes phases sont :

* Le désir

* L'excitation

* Le plateau

* L'orgasme

* La résolution
Ces différentes phases, observables aussi bien chez l'homme que chez la femme, se manifestent par des variations physiologiques.

Variations physiologiques observées oLors de la phase de désir :

* Léger gonflement des organes génitaux.

oLors de la phase d'excitation :

Chez la femme :

* Lubrification des parois du vagin
* Augmentation du volume du clitoris
* Érection des mamelons
* Augmentation du volume de la poitrine

Chez l'homme :

* Érection

oLors de la phase du plateau :

Chez l'homme :

* Augmentation de la circonférence du pénis
* Élargissement des testicules et poursuite de leur élévation tout près du muscle périnée.

On observera également chez de nombreux hommes et de nombreuses femmes :

* Une vasodilatation se traduisant par une rougeur du visage, un triangle rouge sur la poitrine, etc., avec toutes les variations individuelles ;
* Un rétrécissement du champ visuel et un rétrécissement du champ auditif ;
* Un accroissement de la transpiration.

Chez la femme :

* gonflement des seins et des mamelons
* Augmentation de la respiration, du rythme cardiaque et de la pression sanguine
* Disparition du gland du clitoris sous son capuchon (il se rétracte)
* Gonflement et augmentation du volume des petites lèvres

oLors de l'orgasme :


* Des contractions répétées au niveau du vagin ou du pénis toutes la 0,8 seconde. « Après les quatre à six premières, celles-ci diminueront en force et en fréquence ».

* L'orgasme chez certaines personnes s'accompagne de manifestations sonores plus ou moins intenses et plus ou moins discrètes (cris, soupirs, gémissements, etc.)

oLors de la phase de résolution :

* Les organes génitaux reprennent leur apparence initiale peu à peu.

- GENERALITES SUR LA SEXUALITE - (afficher sur Google Sidewiki)

Le fantasme est une fixation mentale pouvant conduire à des actes excessifs. Dans le domaine de la sexualité, il s'agit d'un scénario érotique, imaginaire ou non, provoquant une excitation sexuelle.

En sexualité, le fantasme est un scénario érotique ou imaginaire provoquant une pulsion ou une excitation sexuelle au point d'être assouvie mais pas nécessairement, du fait de l'auto-censure sociale ou religieuse.

Fantasme en psychanalyse

* La traduction de l'allemand « Phantasie » inventé par Sigmund Freud, compromis entre deux termes existants: phantasme (hallucination) et fantaisie (la capacité à imaginer).

Le fantasme se comprend comme une élaboration dérivée de plusieurs éléments, mettant en jeu différentes pulsions .Il s'agit d'un compromis élaborant différents matériels, dont certains sont conscients et d'autres inconscients.

Le fantasme peut témoigner d'une fixation de la sexualité à un stade psychosexuel ( oral ou anal); il est, donc, le résultat d'une régression. La capacité à fantasmer signe une certaine "normalité psychique". Le fantasme permet ainsi une régulation psychique des désirs inconscients, nécessaire à la bonne santé mentale.

* J. Laplanche et J.B. Pontalis (Vocabulaire de la Psychanalyse, V° Phantasme, P.U.F., Paris, 1971, 3ème édition) définissent le fantsme comme un "scénario imaginaire où le sujet est présent et qui figure, de façon plus ou moins déformée par les processus défensifs, l' accomplissement d'un désir et, en dernier ressort, d'un désir inconscient".

* Chez Melanie Klein, l'ensemble de la vie psychique ne saurait être compris que comme fantasmatique.

Les fantasmes sexuels à l'adolescence

Les parents sont le premier objet d'amour pour l'adolescent.

En effet, il a maintenant acquis la force et la maturité physique potentielle pour éliminer son parent « rival » et avoir des relations sexuelles avec l'autre parent.

La puberté met donc en péril « l’interdit de l’inceste » entre parents et enfants, ces désirs interdits sont présents chez tous les ados, même s’ils ne s’expriment pas toujours de façon explicite.

Lorsque les parents adaptent progressivement leurs attitudes en fonction des transformations de leur enfant,l’adolescent sera rassuré que ses fantasmes ne deviennent pas réalité, et que ces rêveries n’appartiennent qu’à son monde secret et intime.

Avant de faire l'amour pour la première fois, l'adolescent fantasme sur, la façon dont ça pourrait se passer. En faite, Durant l'adolescence, notre imaginaire peut également se mettre à fonctionner, suivant une photo que l'on a vu, un film regardé, un livre lu. Ainsi l'adolescent consciemment ou inconsciemment pensera à ça et se créera un fantasme, qui pourra ressurgir plus tard dans sa vie d'adulte. En effet l'esprit va lier la scène vue ou lue avec notre désir sexuel. Ce fantasme surgira plus tard, d'une manière aléatoire.

Les fantasmes sont, donc, très importants à l’adolescence, ils préparent l’adolescent à la rencontre amoureuse et sexuelle future. Car le premier rapport sexuel est une expérience très importante dans la vie sexuelle adulte et parfois bouleversante.
Masturbation et fantasmes

Au cours de la masturbation, 75% des hommes et des femmes ont recours aux fantasmes pour obtenir une excitation sexuelle.

Les femmes fantasment, généralement, sur un partenaire de remplacement qu’elles ne connaissent pas, alors que les hommes fantasment plus souvent sur une personne connue dans leurs entourages.

Lors d’un rapport sexuel, la mise en jeu des fantasmes est moins fréquente que lors de la masturbation car "l’objet d’excitation" est présent.

Au début de la relation de couple, les partenaires n’auront pas besoin de fantasmes pour faire naître le désir l’un de l’autre. Tandis que, pour les couples, constitués depuis longtemps, les fantasmes participent au déclenchement de leurs désirs et leurs excitations réciproque.

- Les fantasmes - (afficher sur Google Sidewiki)

Qu'est ce que l'orgasme?

L’orgasme vient du grec "orga" : bouillonner d’ardeur, c'est une réponse physiologique et psychologique suite à la phase d’excitation sexuelle, une jouissance intense s'ensuit d'un moment de détente, de bonheur et d'apaisement.


L’orgasme est avant tout un réflexe psychologique entraînant un certain nombre de manifestations physiques (la contraction du périnée et du col de l’utérus, la chute de la tension sexuelle…). Contrairement à l’homme, l’orgasme n’est pas pour la femme la condition essentielle du plaisir sexuel. D’autant plus qu’il demande beaucoup plus de stimulation et de temps pour survenir. C’est plutôt l’aboutissement d’un acte sexuel déjà satisfaisant dans sa globalité.

Un rapport sans orgasme vaginal est souvent vécu comme une défaite. Les rapports suivants sont vécus dans le stress et la peur de « ne pas y arriver ». L’absence de l’orgasme ne relève pas de problèmes physiques, si vous avez déjà atteint l’orgasme clitoridien, l’orgasme vaginal sommeille en vous.

Pour atteindre l’orgasme vaginal, il est indispensable d’avoir une bonne connaissance de son corps et de ce qui procure du plaisir.
Qu'est ce que le point G?

Le point G se situe à 3 ou 5 cm à l'intérieur du vagin, sur la paroi supérieure, une fois excitée, cette petite zone se gonfle. Aux premières stimulations, le point G pourra vous faire ressentir une envie d'uriner, il est situé à quelques millimètres de l'urètre. Ce qui explique cette envie. Par contre, si vous poursuivez la stimulation, cette envie d'uriner se transformera en plaisir.

La sensibilité du point G varie selon les femmes.

Certaines positions sexuelles permettent une stimulation directe de cette zone en particulier si l'homme est derrière la femme lors du coït ou si, dans la position du missionnaire, elle pose ses jambes sur ses épaules. L'attention et le savoir-faire du partenaire sont cependant plus déterminants qu'une position particulière. Chez certaines femmes, la stimulation de ce point G conduit parfois à des éjaculations féminines .

Le point G est plus ou moins individualisé selon les femmes. Pour une minorité, il semblerait que la paroi postérieure du vagin soit également réceptive aux stimulations.
Les phases de la réaction sexuelle

Selon les sexologues, il y a quatre phases dans la réaction sexuelle, Le temps passé d'une personne dans chaque phase, et l'ordre dans lequel ils le vivent, est variable, cela dépendra même de humeur et de la personne avec qui elle se trouve.
L'excitation

La phase d'excitation est accompagnée des réactions physiques aux stimuli mental et/ou physique:

-La lubrification vaginale commence en premier .

-Le vagin s'élargie.

-L'utérus et le col s'étirent vers le haut.

-Les lèvres externes s'aplanissent et s'écartent.

-Les lèvres internes et le clitoris augmentent de taille.

-Les mamelons peuvent se durcir et la poitrine peut augmenter de taille.
Le plateau

Pendant la phase Plateau,la femme peut avoir:

-Une augmentation proéminente dans la tension sexuelle

-La vasocongestion accrue dans le vagin pousse le vagin à augmenter, ce qui diminue son ouverture

-La quantité de sécrétion vaginale peut diminuer pendant cette étape, surtout si elle est prolongée.

-Le clitoris devient de plus en plus droit

-Les lèvres internes augmentent en épaisseur et leurs couleurs changent, allant du rose au rouge.

-50 % des femmes voient un "sex flush" (émotion/rouge) sur leur poitrine et les autres parties du corps résultant d'une augmentation de la circulation sanguine près de la surface de la peau.

-La vitesse du coeur augmente.

- Une forte augmentation de la tension sexuelle dans les cuisses et le postérieur.

Le corps de la femme est maintenant prêt pour des rapports sexuels vaginaux.
L'orgasme

-Les contractions rhythmiques du muscle surviennent au niveau de l'utérus et l'anus. Tandis que l'orgasme continue, les contractions deviennent moins intenses.

-Le "sex flush" devient plus prononcé et peut couvrir tou

- L'orgasme féminin - (afficher sur Google Sidewiki)

Un accouchement bouleverse souvent la vie sexualité du couple. Le corps de la femme entre dans une période appelée"suite de couches", qui prends fin avec les réapparition des règles, généralement six semaines après l'accouchement, quand les tissus se régénèrent.

La reprise des relations intimes,après la naissance se déterminera,en fonction, de l'état général de la femme et du déroulement de l'accouchement.
Transformations physiques et psychologiques

La grossesse et l’accouchement,sont des processus bouleversants et physiquement épuisants. En effet, après l'accouchement, le vagin de la femme est fragile et douloureux, souvent les femmes ont subi une épisiotomie (incision au niveau de la vulve pour agrandir l'orifice) nécessitant environ deux semaines de soins. Cette période est également marquée par des écoulements vaginaux.

Par ailleurs,l'organisme subit une modification hormonale, le taux d’hormones de la grossesse chutant brutalement après la naissance… sans parler de la lactation qui se met en place, vers le 3e ou 4e jour, ce qui implique une baisse de désir, voir une absence.

La sécheresse vaginale est importante après l'accouchement et les relations sexuelles pourraient entrainer certains inconforts au début. Les seins sont sensibles au toucher , ce qui stimule la production du lait maternel ce qui augmente l'inconfort.

La maman redoute la douleur que pourrait provoquer la pénétration à cause de la sensibilité de son vagin et des séquelles de l’accouchement, sans oublier la crainte de réveiller bébé.

De plus,la jeune maman est occupée à s'adapter à son nouveau rôle de mère et elle est épuisée avec toutes les tâches qui réclament son attention.

Psychologiquement,devenir mère en quelques heures est bouleversant. Pour certaines femmes, elles se sentent maman dès que leur enfant montre le bout de son nez, pour d’autres, le processus est plus lent. Il s’agit d’apprivoiser l’espace de son nouveau statut, de passer de l’état d'une épouse à celui d'une mère.

Quand il s'agit du 1er enfant,la jeune maman est angoissée de se voir responsable d’un être humain, mais pour les enfants suivants, l’angoisse peut être déclenchée par un sentiment de ne pas être à la hauteur de la charge d’une famille.

Ces transformations physiques et psychologiques font que la sexualité est toute chamboulée, mais être parent ne vous empêche pas d'être aussi un partenaire amoureuse.
Comment reprendre la relation intime en toute sécurité

Il faut reprendre tout doucement, et surtout quand la femme se sent prête et quand le couple en éprouve le désir. La sexualité peut être vécue dans le plaisir et le désir d'un rapprochement et d'intimité avec son partenaire dans un besoin lié à la maternité et la procréation.

Avoir à nouveau des relations intimes avec son partenaire constitue un aspect important de la relation, au même titre que vos nouvelles joies et responsabilités en tant que mère.

Les femmes et leurs partenaires se posent souvent des questions en ce qui a trait à la reprise des relations sexuelles après la naissance d’un enfant, ainsi que sur la manière d’éviter une nouvelle grossesse. Voici quelques conseils pour réduire l'inconfort et réjouir de nouveau de cette relation Le présent article fournit des renseignements généraux et des conseils; il ne remplace toutefois pas l’avis d’un professionnel.

* Pour les problèmes de sécheresse vaginale,l'emploi un lubrifiant peut réduire l'inconfort.

* Si vous allaitez , donner le sein au bébé une heure avant d'avoir une relation sexuelle pour ne pas stimuler la production de lait maternel lors de la relation sexuelle

* Et surtout choisissez une méthode contraceptive efficace, car vous êtes fertile même au cours du premier mois qui suit l'accouchement.

- La sexualité après la naissance - (afficher sur Google Sidewiki)

Un cauchemar pour les jeunes qui débutent leur vie sexuelle, elle peut être un handicap et parfois même une cause de séparation pour les couples si cela persiste à l’âge adulte. Quelles en sont les causes ? À quel moment on peut dire qu’une éjaculation est précoce ? Existe-il des solutions ?...

DEFINITION

Une éjaculation est qualifiée de précoce si elle survient avant le moment désiré ou bien trop rapidement pour satisfaire le couple et particulièrement avant la satisfaction de la femme vue que l’homme passe, juste après l’éjaculation, par une période de résolution qui empêche toute érection et tout désir sexuel l’empêchant ainsi de continuer l’acte et de permettre à sa partenaire d’atteindre l’orgasme.

CAUSES DE L'ÉJACULATION PRÉCOCE

Selon le degré de l’éjaculation précoce on peut la classer en 4 catégories :

* Degré1 : causé par quelques mauvaises habitudes liées à la masturbation
* Degré2 : causes liées au stress ou bien à aux émotions fortes
* Degré3 : le degré3 correspond en lui-même à des déséquilibres neurochimiques ou dans certains cas à l’aggravation d’un cas de degré2
* Degré4 : qui correspond à un cas de degré3 qui n’a pas été traité correctement

Dans tous les cas l’éjaculation prématuré (précoce) est due à une perte de contrôle du reflexe éjaculatoire. En général, l’éjaculation prématurée est rarement due à une cause organique ou physique mais principalement à des causes essentiellement d'origine psycho-comportementale.

FRÉQUENCES

L’éjaculation précoce est le disfonctionnement masculin le plus répondu. En effet, selon le rapport Linsey, 75% des hommes interrogés confirment qu’ils éjaculent à la 2ème minute après le début de la pénétration. Environ 30% des hommes qui consultent en sexologie souffrent d’éjaculation précoce.

LES SOLUTIONS

Il n’existe pas, pour ainsi dire, un remède miracle pour l’éjaculation précoce, néanmoins, on peut citer méthodes qui ont fait leurs preuves.
Malgré la bonne réputation de certaines méthodes, leur efficacité reste tributaire de certaines conditions :

* Une application totale et une réelle volonté de la part de l’homme
* Ne pas céder à la déception et au désespoir car cela provoque un effet boule de neige, la dépression aggravant presque toute les affections en sexologie
* Se faire à l’idée que l’éjaculation précoce est un trouble physique guérissable par un simple traitement médicamenteux au même titre qu’une angine ou autre
* Eviter de culpabiliser car ce trouble ne doit pas être considéré comme sa propre faute
* Le soutien de la partenaire et sa compréhension sont des éléments primordiaux qui vont aider le sujet à lutter contre cette difficulté de part le fait qu’elle est la première à subir les conséquences du trouble de son partenaire

Les exercices

* Eviter de contracter la musculature de la région pelvienne car cela précipite l’éjaculation et essayer de se relâcher comme lors de la miction
* Effectuer des séances de masturbation au cours desquelles on s’efforce à retenir l’éjaculation pour réapprendre à contrôler le reflexe éjaculatoire
* Effectuer des séances de musculation de la zone périnée pour reprendre conscience des muscles qui la constituent pour découvrir comment les utiliser et notamment prendre conscience de leur influence sur l’excitation
* Apprendre à reconnaitre les signe prémonitoire d’une éjaculation imminente pour ne plus se laisser surprendre par son éjaculation

Dans un second temps, on doit passer à un autre type d’exercices qui seront plus faciles à appréhender un fois la première série d’exercice a été rigoureusement réalisée :

* Apprendre à stabiliser son excitation malgré une forte stimulation
* Faire des séances prolongées de préliminaires notamment de massages mutuels
* Les injonctions paradoxales (essayer d’éjaculer le plus rapidement possible)
* Pratique

- ÉJACULATION PRÉCOCE - (afficher sur Google Sidewiki)

Mon Dieu ! Ca fait tout bizarre ……. Il nous résiste, affiche une indifférence « amorphe ».


Nous en avions tellement entendu parler, tellement lu d’articles à ce sujet, tellement regardé d’émissions télévisées, écouté d’émissions radio …..que nous sommes maintenant tellement étonnés de constater que notre homme aussi peut être touché par cette malédiction! Et tellement bousculés par cet état de fait !!

Alors comme femmes battante nous avons décidé de réagir : on s’est mis au massage, on a loué des dvd, on s’est essayé aux jeux érotiques, acheté de la lingerie suggestive en bravant le regard moqueur de la vendeuse……Nous avons même essayé de faire l’amour dans des endroits incongrus : ascenseur, la voiture, la table de la cuisine. Tout cela a bien excité notre mâle, mais concrètement l’objet du désir n’a pas bronché.


Notre désir ne déclenche plus le sien. Alors nous nous inquiétons, nous posons des questions sur notre capacité à séduire, à exciter, sur notre façon de faire l’amour….


Et là, nous pouvons commettre une grosse erreur : comme un animal touché nous allons réagir en attaquant, risquant parfois de dire des mots qui blessent notre mâle…………grosse maladresse que voilà car le rabaisser ainsi ne ferait que mettre en route le cercle vicieux du « serpent qui se mord la queue » et entretenir cette impuissance !


Les sexologues nous diront que les causes les plus fréquemment rencontrées -sont :

* maternalisation (à jouer les mamans on infantilise son partenaire),

* respect pour la mère de son enfant,

* échec professionnel.

Heureusement que nous sommes assez vives et intelligentes pour très vite nous ressaisir et voir que nous allions faire une grosse bêtise. Alors pour sauver notre couple, nous allons pousser notre homme à puiser dans sa masculinité : en bref beaucoup de tendresse pour lui donner envie d’avoir envie !


Messieurs cette panne nous aura permis de nous rendre compte à quel point nous tenons à vous, et que même si « la mécanique casse un peu » de temps en temps pas de souci pour sauver notre couple ne plus faire l’amour……..nous pourrons nous y habituer ! Nous voilà en tout cas rassuré sur votre fidélité.

N’est ce pas mes dames!!!

- LA PANNE : - (afficher sur Google Sidewiki)

Selon M.Laumann, la santé sexuelle constitue une part très importante de la vie et peut être affectée par la santé physique, mentale et les qualités de la relation entre les partenaires.

Traditionnellement, la vieillesse est décrite comme une période asexuée.

Biologiquement, les personnes âgées peuvent tout à fait poursuivre leurs activités sexuelles, mais généralement, faire l'amour après 50ans, garantie une meilleure santé physique et psychologique, parce que le corps continue d'avoir du plaisir.

Chez la personne âgée, l'arrêt de toutes relations sexuelles, de toutes communications érotiques, amoureuses et fantasmatiques entraîne l'arrêt d'une fonction importante source de créativité... l'arrêt de la fonction de vie.

Aujourd'hui, les séniors sont devenus des consommateurs de loisirs et ont enrichi leur vie intime. Les progrès médicaux et sociaux accompagnant le levée de certains tabous ,ont permis de vivre librement leur sexualité.
Pour les femmes

Généralement, dès la quarantaine, les femmes sont actives sur le plan sexuel. Toutefois, le fonctionnement sexuel des femmes d'âge mûr et de leurs partenaires, varie considérablement. L'état physique et psychologique du partenaire et le statut de leur relation, peuvent avoir un impact important sur leur vie sexuelle.

Vers 50 ans et à l'aube de la ménopause, les femmes se sentent moins désirables, elles peuvent, pourtant,continuer à êtres actives sexuellement et entretenir la sexualité de leurs couples. Il suffit d’augmenter les préliminaires et de prendre le temps.

Selon une étude de Pfizer Global Study, la baisse de la production d'hormones sexuelles (œstrogènes et progestérone) peut conduire à une sécheresse et atrophie vaginale qui empire avec l'âge.
Pour les hommes

La libido et les performances génitales diminuent considérablement. Les changements de la physiologie sexuelle, dus à l’âge, peuvent affecter la fonction érectile et l'éjaculation.

* Augmentation de temps requis pour l’érection.

* L'érection n’est pas aussi ferme qu’avant.

* La diminution du temps que l'érection puisse être maintenue .

* La diminution de la force d'éjaculation, et une augmentation de la durée de la phase réfractaire.

* La perte d'érection après l'orgasme peut être plus rapide ou il peut prendre plus temps avant qu'une nouvelle érection soit encore possible.

Ces changements ne doivent avoir aucun impact sur le plaisir subjectif des rencontres amoureuses.
Bien vivre sa sexualité après 50 ans

* Certes la sexualité à 50 ans n'est plus aussi performante qu'à 20 ans. La vie sexuelle ne s'arrête pas à la cinquantaine, au contraire, elle est un facteur de bien-être.

Il faut adapter la sexualité en fonction des modifications physiologiques provoqués par l'âge.

* Avec la retraite, certains perdent leurs identités sociales et une baisse d'estime de soi.

Selon Philippe Hofman, le syndrôme de "nid vide" est induit par la rupture avec les préoccupations professionnelles et parentales (le passage à la retraite, les enfants ont quitté le domicile....)

* Pour combler cette carence affective, la femme reporte sa tendresse sur ses petits enfants, marquant une contunuité de son rôle maternel et évitant au couple de se pencher sur sa vie conjugale.

* Le vieillissement du partenaire perturbe inconsciemment la sexualité et l'harmonie du couple, car il renvoie, par un effet de miroir, l'image intolérable de son propre veillissement. Il faut accepter, de veillir en s'adaptant aux changements liés aux années, et de ne pas se focaliser sur des petites imperfections physiques.

* Il faut se jouillir de la vie en deux et de s'organiser un emploi de temps avec des plages horaires communes, créer des espaces de liberté pour ne pas étouffer le désir.

* On sera plus intéressant aux yeux de l'autre,en s'investissant dans des projets et en vivant ses passions.

* Quand l'autre vous fait donner le meilleur de vous-même, quand vous assumez votre

- La sexualité des séniors - (afficher sur Google Sidewiki)

Le désir

Le désir est une tension interne, issue d’un sentiment de manque. On tend vers un but considéré comme source de satisfaction.

Le désir sexuel

En 2003, Trudel définie le désir sexuel comme un état subjectif précédant l’excitation sexuelle et favorisé par plusieurs facteurs à savoir les fantasmes.

Freud considère la libido/ désir sexuel, comme la manifestation dynamique de la pulsion sexuelle. Elle est difficilement mesurable et entre en conflit avec les conventions.

Le désir sexuel est la manifestation dynamique de la pulsion sexuelle dans la vie psychique. C’est un état subjectif et difficilement mesurable.
La testostérone: l'hormone du désir

La testostérone est l’hormone du désir par excellence, aussi bien chez l'homme que chez la femme. Sa diminution provoque une baisse de la libido et de la fertilité et des troubles de l'érection.

Chez l'homme, la testostérone est produite au niveau des testicules et des glandes surrénales. Tandis que la femme produit de la testostérone en petite quantité, aux niveaux des ovaires et des surrénales.

Le désir sexuel de l’homme se manifeste par une érection. Cette libido masculine se déclenche sous l’effet de différents facteurs extérieurs (photos érotiques…) ou intérieurs (fantasmes…). Le désir sexuel masculin ne répond pas un cycle défini, contrairement au désir féminin qui s’intensifie pendant les jours qui précèdent l’ovulation et s’affaiblie après l’accouchement sous l’effet de la prolactine, l’hormone anti désir.
Couple et désir sexuel

Au début d’une relation le désir sexuel est souvent au rendez-vous, mais avec le temps, il n’est plus systématiquement en phase, et souvent, le couple traverse une période de baisse de la libido avec des relations sexuelles moins fréquentes.
Principales causes de la baisse du désir

Parfois le désir sexuel n’est pas au rendez-vous. Nombreux facteurs sont à l’origine de ce manque.

* L’installation de la routine au sein du couple

Le désir féminin est une réponse au désir et l’amour de l’homme. Mais avec le temps, la séduction et le romantisme cèdent la place à la routine et aux conflits, ce qui ait une incidence sur le désir sexuel.

De plus, faire l'amour au même endroit, le plus souvent dans la chambre, de la même manière peut rendre la sexualité routinière.

* La baisse de la passion

La passion qui diminue inévitablement chez certains couples au fil des années est une des raisons de la diminution du désir. L'excitation est de plus en plus difficile à obtenir, ce qui favorise l’apparition des sentiments de frustration et de culpabilité.

* Le mode de vie

L’accélération du mode de vie, la grande charge de travail, l’éducation des enfants… entraient un manque de temps à consacrer à la vie de couple et la sexualité.

* La grossesse et la maternité

Ils excisent des facteurs physiques et psychologiques qui perturbent la libido, pendant et après la grossesse.

* Le deuil, la séparation et l’infidélité rendent, souvent, très difficile une relation intime et peuvent être source d’une baisse brutale du désir et parfois une abstinence totale.

- Le desir - (afficher sur Google Sidewiki)

Freud et la sexualité féminine

Dans l’élaboration de sa théorie des phases du développement psychosexuel de l’enfant, Freud se référait, surtout, à la sexualité du garçon à travers sa conception du concept de l’Œdipe. Freud envisage en effet, la sexualité infantile, comme ayant un même tronc masculin. Il décrit la phase préœdipienne féminine (la fillette se comporte, tout d’abord comme un petit homme vis-à-vis de sa mère). Il présume, à l’origine, que l’objet d’amour pour le garçon et la fille est le même : la mère.

En faite, les investissements libidinaux s’étayent sur la recherche de satisfaction instinctive : la mère rapporte les soins à travers la tétée et l’apprentissage de la propreté. Le père est un objet rival dans l’amour de la mère, à ce stade de la vie psychique infantile.

Si le petit garçon conserve cette orientation objectale (l’amour de la mère) au cours des stades suivants, la fillette change son objet d’amour et passe de la mère au père.

La découverte fortuite de son sexe (4/5ans) et la comparaison avec celui du garçon, est vécue par la fille comme une « castration effective ». A cette période de la vie, les sensations vaginales seraient inexistantes, son plaisir sexuel restant infantile en relation avec la miction et les sensations clitoridiennes ; Selon Freud, le clitoris est l’équivalent féminin du pénis masculin, dans la continuité de sa conception de la fille comme garçon.
Le désir sexuel

Selon May (1976), le désir sexuel est une émotion profonde ayant une dimension psychique et intra personnelle. C’est une tendance comprenant un jeu de polarisation entre deux partenaires qui s'éveillent à la différence complémentaire. La femme offre à l'homme sa féminité et l'homme offre à la femme sa masculinité.

De point de vu physiologique, les œstrogènes et les androgènes sont les hormones qui développent la libido féminine.

Les œstrogènes sont produits par les ovaires, ils ont un rôle important dans la libido féminine et dans la vie sexuelle de la femme. Ces hormones agissent sur des neurotransmetteurs dans le cerveau, pour déclencher le désir sexuel. Elles permettent une bonne lubrification vaginale et un flux sanguin constant facilitant l’érection du clitoris. La production maximale des œstrogènes est vers le 14 jour après les règles.

Les androgènes sont des hormones mâles, elles sont produites en faibles quantité par l’ovaire. Leur rôle est capital dans le désir sexuel, leur production diminue avec l’âge. De point de vu psychologique, la libido est l’énergie psychique et sexuelle qui englobe nos désirs, nos envies, nos pulsions et toute notre activité sexuelle concrète ou imaginaire.

S Freud a inventé et a utilisé largement la notion de libido, dans le développement de sa théorie psychanalytique. Il s’agit, d’une énergie pulsionnelle qui entre en conflit avec toutes conventions et comportement civilisé.
Le plaisir sexuel ou l'orgasme

Dans la théorie classique initiée par Freud on distingue deux types d'orgasmes chez la femme. Le premier chronologiquement serait l’orgasme clitoridien considéré comme basique ou infantile, le second, l’orgasme vaginal nécessiterait un apprentissage pour les femmes et serait selon Freud «l'orgasme de la femme mature».

L’orgasme vient du grec "orga" : bouillonner d’ardeur. C'est un plaisir intense survenant après une période d'excitation.

Il s'agit d'un phénomène psychophysiologique qui se déclenche dans le cerveau et va amener des manifestations physiques.

L'orgasme féminin est accompagné de contractions du vagin,une respiration bruyante,une tachycardie, et d'une dilatation pupillaire.

Dans la théorie psychanalytique classique initiée par Freud, on distingue deux types d'orgasmes chez la femme. Le premier serait l’orgasme clitoridien considéré comme basique ou infantile, le second, l’orgasme vaginal nécessiterait un apprentissage pour les femmes et serait, selon Freud, «l'orgasme de la femme mature».
- Le comportement sexuel chez la femme - (afficher sur Google Sidewiki)

La sexualité est à la base même de la société, une espèce asexuée peut engendrer une colonie mais en aucun cas elle donnera une société. Avoir une sexualité satisfaisante est essentiel pour assurer la pérennité d’un couple. C’est un important facteur de bien-être physique et psychologique. Quels que soient les aspects de la sexualité : poétiques, romantiques, moraux ou sociaux, les réactions sexuels comportent toujours des changements physiologiques observables. Le cycle de la réponse sexuel se réalise en quatre phases : l’excitation, le plateau, l’orgasme et la résolution (période réfractaire). Ces phases offrent un cadre référentiel pour bien décrire les réactions de l’organisme humain au long du processus sexuel.

Bien que nous allions écrire en début les réactions et les modifications de l’organisme, cette description ne constitue pas la norme à atteindre vu d’autres facteurs qui peuvent influencer ce comportement sexuel comme par exemple la fatigue, l’état de santé, l’humeur…
1) Phase de l’excitation :

Elle commence par des premières stimulations sexuelles et elle dure quelques secondes à quelques minutes selon l’intensité et l’efficacité de la stimulation sexuelle et elle peut être interrompue. Les caractéristiques physiologiques à ce moment se caractérisent par une tension musculaire, une tension artérielle, une augmentation du rythme cardiaque se qui facilitent le rapprochement des testicules du bassin. Cette phase se caractérise par son importance dans le déroulement de la rencontre sexuel parce qu’elle prépare l’esprit et l’ensemble du corps à des contractions plus intenses. L’empressement risquera, certes, de nuire à cette préparation de l’organisme.
2) Phase en plateau :

Si la stimulation sexuelle se maintien efficacement, c’est au cours de cette phase que l’excitation atteint son apogée. L’état de tension musculaire s’accroît très rapidement et augment le désire sexuel. Le volume de pénis augmente, ces glandes s’activent et laissent écouler le long du l’urètre quelques gouttes d’un fluide lubrifiant. Ainsi le volume des testicules s’accroît en remontant vers le bassin. Cette phase prépare l’organisme à atteindre l’orgasme: la tension neuromusculaire sera élevée, la dépense d’énergie est généralement très grande. Les deux partenaires n’atteignent pas nécessairement ce haut niveau en même temps et dans ce cas l’un de deux va se sentir frustré (e) et paniqué (e), c’est pour cette raison, la communication devient un élément primordial afin de facilité les ajustements ultérieurs et de diminuer la frustration.
3) Phase de l’orgasme :

Elle consiste à une série de contractions rythmés et rapprochés déclanchement le relâchement rapide des tensions neuromusculaires. L’imminence de l’orgasme est ressentie lorsque l’éjaculation du sperme semble inévitable et ne peut pas être retenue. Les contractions qui ont eu lieu tout au long du pénis entraînent une forte expulsion du sperme. Mentionnons que l’éjaculation et l’orgasme sont deus processus nettement différents bien qu’ils se produisent presque au même temps et que chacun d’eux puissent se produit sans l’autre.
4) Phase de résolution :

C’est l’acheminement des organes vers la détente. Cette phase se caractérise par le retour à l’état normal des muscles et de tous les tissus, cette détente demande quelques dizaines de minutes à quelques heures ; sa durée est proportionnelle à la durée de l’excitation si cette dernière était lente, la phase de la résolution a plus de chance de l’être et vice versa.
Les troubles psychosexuels

Un sujet sain c’est celui qui obtient une satisfaction physique et psychique (orgasme physique et psychique) au cours de relations hétérosexuelles. Les hommes peuvent avoir des problèmes avec leur sexualité, ce qui peut avoir d’importantes conséquences dans leurs relations avec leur partenaire.

- Le comportement sexuel chez l'homme - (afficher sur Google Sidewiki)

INTRODUCTION :

Le sexe qui a toujours était synonyme de plaisir et de jouissance extrême essentiel pour la survie de notre espèce et tant rechercher par les adeptes de cette discipline ne cesse de nous révélé depuis quelque années ses vertus et ses innombrables bienfaits sur notre corps…
En voici quelques uns pour ceux qui ont perdu le gout …question de leurs redonner envie et aussi pou ceux qui ont l’appétit vorace…question de leurs permettre de garder la forme :

Il augmente l'espérance de vie :

D'après des études suédoises et américaines récentes, faire l’amour 2 à 3 fois par semaine augmente l'espérance de vie de... 10ans !

* Il y aurait une baisse des problèmes cardiaques, En effet, les hommes qui ont eu au moins trois orgasmes par semaine sur une durée totale de 10 années, sont aussi ceux qui ont deux fois moins de risque d'avoir une crise cardiaque ou une attaque cérébrale.

Messieurs, faites donc l'amour le plus souvent possible, c'est la meilleure prévention naturelle contre les problèmes cardiaques.
Les vertus apaisantes du sexe :

Le psychologue américain Stuart Brody s’est penché sur ce point a fin de dénicher ses secrets comme quoi les voies de la recherche scientifique peuvent parfois emprunter des chemins surprenants…bref ses études ont démontré indéniablement l’effet anti-stress du sexe.
Selon le Dr Brody, ces bénéfices sont bel et bien distincts des traits psychologiques de chaque individu.
Une plus grande fréquence des rapports est associée à de plus importants bénéfices. "Ces effets ne sont pas uniquement liés à l’apaisement de court terme suivant l’orgasme, mais perdurent pendant au moins une semaine"
Avoir une vie sexuelle satisfaisante et régulière procure un bien-être et une sérénité sans pareil.
Vous voulez rester zen ? Surtout arrêter de massacrer les boules anti-stress et économiser votre effort pour ce soir…et n oublié pas :le sexe c’est un maitre zen.

Il nous rend plus intelligent :

Encore un argument en faveur, en effet au cours du rapport sexuel il se produit une sécrétion de substances stimulantes pour notre matière grise.
Mais ne vous amusez pas trop à mesurer votre QI après chaque rapport, votre partenaire pourrais vous prendre pour un dérangé ou bien se prendre pour un de ses exercices de QI, problème...!!!
Il calme la douleur :

Plus d'excuse pour ne pas avoir de rapport un soir... Et oui, le sexe diminue la douleur ! Un orgasme serait comparable à la prise de deux aspirines !
Il lutte contre l'insomnie :
Morphée vous accueillera certainement à bras ouverts dans son royaume du sommeil après un bon câlin sous la couette.
En effet, Le plaisir libère dans le cerveau des substances appelées endorphines qui provoquent un effet de relâchement dans le corps et l'esprit.

Il embellit les femmes :

En favorisant la sécrétion d’hormones qui facilitent l'irrigation de la peau et la production du collagène naturel une femme se sente encore plus belle et le résultat spectaculaire est très souvent sujette à de nombreux commentaires du genre quel potion magique t’a prise aujourd’hui, à chacun son petit secret.
Il sculpte notre corps :

Faire l’amour est équivalent à un sport d’endurance avec en plus un bonus d’orgasme.
Celui-ci sollicite les abdominaux, les muscles des fesses et ceux des cuisses ! Des rapports réguliers peuvent former une belle silhouette !
Alors Les amoureux du lit, ne vous cachais pas face aux plus musclés si vous n’êtes pas du genre sportif, c vrai que a chaqu’un son sport, mais le votre est plus rentables en matière de bonne santé et en plus il est plus excitant….
Raison de plus pour faire les deux, c’est très recommandé.
Le sexe pour maigrir :

Un rapport sexuel consomme autant de calories qu’un sport d’endurance (environ 300cal) et pourrais vous aider à perdre quelques kilos.

AUTRES :

* Amélioration de l'odorat.
* Baisse des cas de rhumes et de grippe.
* Meilleur contrôle de la vessie.
* Meilleure dentition…en référence à : "Morphée vous accueillera certainement à bras ouverts dans son royaume du sommeil après un bon câlin sous la couette.
En effet, Le plaisir libère dans le cerveau des substances appelées endorphines qui provoquent un effet de relâchement dans le corps et l'esprit.

Il embellit les femmes :
En favorisant la sécrétion d’hormones qui facilitent l'irrigation de la peau et la production du collagène naturel une femme se sente encore plus belle et le résultat spectaculaire est très souvent sujette à de nombreux commentaires du genre quel potion magique t’a prise aujourd’hui, à chacun son petit secret.

Il sculpte notre corps :
Faire l’amour est équivalent à un sport d’endurance avec en plus un bonus d’orgasme.
Celui-ci sollicite les abdominaux, les muscles des fesses et ceux des cuisses ! Des rapports réguliers peuvent former une belle silhouette !
Alors Les amoureux du lit, ne vous cachais pas face aux plus musclés si vous n’êtes pas du genre sportif, c vrai que a chaqu’un son sport, mais le votre est plus rentables en matière de bonne santé et en plus il est plus excitant….
Raison de plus pour faire les deux, c’est très recommandé.

Le sexe pour maigrir :
Un rapport sexuel consomme autant de calories qu’un sport d’endurance (environ 300cal) et pourrais vous aider à perdre quelques kilos.

AUTRES :
Amélioration de l'odorat.
Baisse des cas de rhumes et de grippe.
Meilleur contrôle de la vessie.
Meilleure dentition…"
- Sexualité et santé - (afficher sur Google Sidewiki)

Au-delà de ces nombreuses vertus, le sexe peut comporter certains risques.
Si l'on pense rapidement aux maladies sexuellement transmissibles, d'autres méfaits viennent plus rarement à l'esprit : fracture, déshydratation, perte de mémoire, cancer…
Découvrez la face cachée de l'amour.
En effet comme déjà mentionner, le sexe en dépit de ses nombreuses vertus, présente aussi beaucoup de méfaits et voici quelque uns :
Cependant, leur rôle ne peut être totalement négligé, car le risque d’attaques cardiaques était malgré tout multiplié par 2 dans l’heure suivant les rapports et par 4, chez les patients sédentaires.

Perte de mémoire :

Quelques cas ont rapporté une perte de mémoire brève après des rapports sexuels, la cause n’est toute fois pas retrouver, et elle est sans gravité particulière sur l’état de santé ou sur la mémoire a long terme.
Fracture de la verge :

Il est très rare d’assister à une cassure de la verge si ce n’est pas exceptionnel, extrêmement douloureuse et causée en général par un rapport sexuel très dynamique, une masturbation ou bien des manipulations nocturnes inconscientes peuvent également être en cause.
Des gestes en urgences s'impose, tout en soignant rapidement l'hématome avec de la glace enveloppée dans un linge.
Une prise en charge rapide en milieux chirurgical évite toujours les complications et une activité sexuel normal est retrouver quelques semaines après cicatrisation de l’albuginée (Il s’agit d’une membrane épaisse et solide qui entoure les corps caverneux du pénis. C’est grâce à elle que le sexe semble rigide)
Si la personne à qui cet accident est arrivé ne consulte pas, son pénis va certes cicatriser mais souvent d’une mauvaise manière et risque plus tard de faire un angle très important lors de l’érection.
Sexe et déshydratation :

Comme déjà cité un rapport sexuel est comparable à un sport d’endurance et peut de ce faite entrainer une perte d’eau plus ou moins importante mais qui reste heureusement inferieure à 2% (seuil minimal pour entrainer un mal de tête ou un état léthargique).
Cependant, si les amants étaient déjà déshydratés avant de s’ébattre ou s’ils entendent continuer leur activité sans boire, ils peuvent atteindre un état de déshydratation affectant leurs performances.
Donc un peu d’eau est toujours recommander après une activité sexuel surtout intense.

Les Maladies Sexuellement Transmissibles (MST) :

(Chlamydiae, Chlamydiae, Mycose et papillomavirus, Herpès, Hépatites, HIV)
Deux MST particulières méritent notre attention :

* le Sida
* et l’hépatite B

Leurs point commun est qu’ils sont très redoutables et marquent un tournant décisif dans la vie d’une personne.
Seul l’hépatite B bénéficie d’un vaccin et est donc accessible à une prévention contrairement au HIV qui demeure inaccessible et les thérapeutique bien que efficaces à court terme restent décevantes à long terme et la mort est inéluctable dans un tableau de souffrance.
Seule la prévention constitue le moyen le plus efficace pour lutter contre le HIV.
Les autres infections ne constituent pas un danger vital et le traitement est souvent efficace.
Risque accru de cancer de prostate :

Ça peut vous sembler un peu contradictoire avec notre article sur les bienfaits du sexe puisque nous avons mis l’accent sur le faite que le sexe protégerait contre ce cancer, en effet le sexe favorise et protège en meme temps contre la survenue du cancer de la prostate :
la limite entre ses deux effets étant fixée par le nombre de rapport et aussi par la multiplicité des partenaires.
Des recherches récentes démontrent que 2 à 3 rapports par semaine ont un effet bénéfique sur la prostate par contre une activité exagérée tend à être néfaste pour la prostate.
De même, la multiplicité des partenaires favorise une atteinte par un cancer de prostate par un mécanisme mal connu.
Quand le sexe devient obsession :

- Sexualité et danger - (afficher sur Google Sidewiki)

Sexualité??

La définition du concept de sexualité change en fonction de l'époque, des théories et des cultures bien que le phénomène biologique de la reproduction sexuée est toujours le même.

La sexualité désigne l'ensemble des comportements qui concernent la satisfaction de l'instinct sexuel.

De nombreux aspects entrent en jeu, et parfois en conflit : le plaisir, la procréation, la santé, mais aussi les aspects relationnels et sociaux, légaux, les interdits moraux ou religieux.

Le mot sexualité désigne les phénomènes suivants :
L'existence biologique d'organismes sexués qui ont des caractéristiques spécialisées et complémentaires spécifiquement destinés à permettre la reproduction.

Le comportement sexuel.

Tous les aspects affectifs et émotionnels (attachement, désirs et plaisirs érotiques, passions, etc.) en relation avec le comportement sexuel.

Tous les aspects cognitifs et culturels (mœurs, représentations, croyances, valeurs, symboles, amour, etc.) qui sont en relation avec les trois phénomènes précédents.

LA SEXULITE DE L ADULTE :

Un rapport sexuel est un acte sexuel impliquant généralement plus d'un individu.

La masturbation (homme et femme) est toutefois largement considérée comme un rapport sexuel à part entière, en ce qu'elle provoque exactement les mêmes effets sur les organes sexuels qu'un rapport partagé.

On désigne par coït la pénétration du pénis dans le vagin, l'anus (sodomie) ou la bouche (fellation) du partenaire; un rapport sexuel n'implique toutefois pas forcément un coït.

Les phases selon Masters et Johnson :

Le gynécologue William Masters et la psychologue Virginia Johnson ont défini quatre phases de la réponse sexuelle humaine dans un ouvrage célèbre intitulé Les réactions sexuelles (Human Sexual Response). À ces phases, le docteur Helen Singer Kaplan a ajouté celle du désir.

D'après ces auteurs, les différentes phases sont :
Le désir

L'excitation

Le plateau

L'orgasme

La résolution


Ces différentes phases, observables aussi bien chez l'homme que chez la femme, se manifestent par des variations physiologiques.

Variations physiologiques observées Lors de la phase de désir :

Léger gonflement des organes génitaux.

Lors de la phase d'excitation :

Chez la femme :

Lubrification des parois du vagin

Augmentation du volume du clitoris

Érection des mamelons

Augmentation du volume de la poitrine

Chez l'homme :

Érection

Lors de la phase du plateau :

Chez l'homme :

Augmentation de la circonférence du pénis

Élargissement des testicules et poursuite de leur élévation tout près du muscle périnée.

On observera également chez de nombreux hommes et de nombreuses femmes :

Une vasodilatation se traduisant par une rougeur du visage, un triangle rouge sur la poitrine, etc., avec toutes les variations individuelles ;

Un rétrécissement du champ visuel et un rétrécissement du champ auditif ;

Un accroissement de la transpiration.

Chez la femme :

gonflement des seins et des mamelons

Augmentation de la respiration, du rythme cardiaque et de la pression sanguine

Disparition du gland du clitoris sous son capuchon (il se rétracte)

Gonflement et augmentation du volume des petites lèvres

Lors de l'orgasme :

Des contractions répétées au niveau du vagin ou du pénis toutes la 0,8 seconde. « Après les quatre à six premières, celles-ci diminueront en force et en fréquence ».

L'orgasme chez certaines personnes s'accompagne de manifestations sonores plus ou moins intenses et plus ou moins discrètes (cris, soupirs, gémissements, etc.)

Lors de la phase de résolution :

Les organes génitaux reprennent leur apparence initiale peu à peu